La constitution de notre État n’étant pas un livre sacré, elle est constituée des lois qui doivent régir notre pays et ces lois ne sont pas immuables, elles peuvent être révisitées pour le bien de tous.
Nous sommes tous conscients que le système politique au pays, n’aide pas à nous amener vers la réelle émergence, un développement durable et harmonieux.
Elle ne s’adapte pas aux réalités politico-sociales de la république.. Ce qui constitue un frein à l’avancement.
La constitution du 18 février 2006, un arsenal juridico-politique faite par les hommes politiques contraints aux réalités socio-politiques de l’époque sans pour autant oublier le contour de la géopolitique mondiale, avec la participation de la Belgique via LOUIS Michel pour enfin continuer à nous diriger d’une manière ou d’une autre.. En nous proposant un texte qui ne cadre pas avec nos problèmes sociaux, du copier-coller.
Il est temps de reconstruire, rebâtir, refonder et par dessus-tout réformer l’Etat.
Le souverainisme de notre État nous en donne pleinement le droit.
Selon les prescrits des articles 5 et 218 de la constitution du 18 février 2006.
Que les politiques affamés, nepotiques qui ne pensent qu’au pouvoir et non à la future génération, comprennent que seul le peuple est souverain dans un régime démocratique et que c’est le même peuple qui se choisit des dirigeants pour orienter la politique générale de la nation.
Le chef de l’Etat Félix Tshisekedi Tshilombo a raison, c’est l’heure d’offrir un nouveau système politique au peuple.
Vivement un nouveau pacte républicain,
Vivement une nouvelle bible par excellence,
Vivement la 4 ème république.
Prince Kinana
Président national du Mouvement des nationalistes divergents