C’est à 15 heures de Kinshasa, la capitale congolaise que les membres de la plateforme au pouvoir de « l’union sacrée de la nation » vont prendre d’assaut la salle des fêtes de Pullman hôtel sur invitation de son présidium.

Il va s’agir de l’adoption et signature de la charte de cette structure mise en place par Félix Tshisekedi afin d’accompagner sa vision de la gestion du pays, après l’effritement de la coalition FCC-CACH, en 2020.

Parmi les principaux points de la charte de l’USN, on note le soutien de la vision de Félix Tshisekedi, défendre et soutenir le candidat que le regroupement va désigner lors de la prochaine élection présidentielle.

Les partis politiques membres doivent soutenir la liste des candidats émise par le regroupement.

Les sanctions vont du simple avertissement à l’exclusion (réservée au président Tshisekedi), apprend-t-on.

Hormis Félix Tshisekedi, le présidium est constitué de Christophe Mboso, Modeste Bahati, Sama Lukonde, Jean Pierre Bemba, Vital Kamerhe et Augustin Kabuya.

Au sein de cette plateforme, on ne jure que sur la réélection de leur autorité morale, l’actuel président de la République, Félix Tshisekedi, car d’après l’union sacrée, son premier mandat a été satisfaisant.